L’île de Boracay à été fermé pendant 6 mois pour « nettoyage ». Les constructions se faisaient partout alors que l’île est protégé, c’était devenue une discothèque géante et l’état a décidé d’y mettre un terme. Boracay a réouvert seulement quelques semaines avant que j’y arrive. La plage est magnifique, une plage gigantesque de sable blanc avec une eau transparente. Le problème : des constructions partout, l’île est un véritable chantier. Plein d’endroits ont été complètement détruits car ils ne respectaient pas les normes et sont maintenant en reconstruction.

Nous sommes dans un hotel 4* au bord de la plage donc nous passons 4 jours à bronzer et se baigner. Malheureusement je commence à être malade : mon ventre ne va pas bien, et je ne désire pas sortir le soir à cause de ça, ni me rendre aux cours de yoga le matin. La plage est située Ouest et nous avons donc un superbe coucher de soleil tous les jours.

Nous retournons à Manille et nous rendons chez les parents de Béa où nous regardons un match de basket d’Universités, qui est le type de basket le plus suivi aux Philippines ! Plus que les équipes professionnelles. Toute la famille supporte Ateneo, qui est l’université où ils sont tous allés.

Je me sens de plus en plus mal mais Béa à l’air de vraiment vouloir sortir, c’est Samedi soir. Je m’habille et me maquille mais au dernier moment je dis à Bea que je ne peux pas sortir, mon ventre me fait trop mal. J’ai des crampes comme des contractions toutes les 5min. Les parents de Béa sont choux et me donnent une sorte de thé au curcuma et appellent un amis gastro-entérologue mais au téléphone c’est un peu difficile. Je n’ai pas de Diarrhée, pas de fièvre, c’est un peu bizarre. Au final je me suis couchée et massé le ventre, je suis allée au toilettes 3fois de suite et tout allait beaucoup mieux ensuite.

La pauvre Béa était triste car elle avait vraiment besoin de sortir, comme elle reste chez ses parents.

Le lendemain matin Béa est au yoga, et je me rends à l’église avec ses parents. Béa nous y rejoint. C’est la chapelle de leur Université Ateneo, la messe est en Anglais mais je ne comprends rien malgré tout. Les chants sont parfois en Tagalo, la langue locale, c’est un langage choux, en phonétique, si bien que je peux le lire.

Nous nous rendons ensuite dans le quartier BGC à nouveau où nous trainons au marché de Noël avant que je prenne mon avion.